Entre pierres et mer.
17 novembre 2019
Le ciel est sombre, et gronde sur la cité des corsaires.
Sur l’océan des brumes tentaculaires.
Les vagues sourdes des nuages
Dansent des sarabandes noires,
Au rythme dru des vents du soir.
Noyant les promeneurs de la digue dans leur sillage
Le bal incessant de la brume de mer et du brouillard,
Etrangle les malouins en cascades de hasard.
Les remparts inébranlables et majestueux
Déchirent ce rideau laiteux,
Et on peut alors découvrir les secrets
De leurs parois éclaboussées
D’écume et d’eau salée.
Notre pensée frissonnante se perd
En des vertiges oppressants,
Dans des infinis envoûtants
Que la pierre nous suggère!
Please follow and like us:
Un point commun, ta sensibilité à la beauté sauvage de Saint Malo !
J’y passe la moitié de mes vacances en attendant de pouvoir choisir d’y rester plus longtemps,prochainement maintenant.
On sent la force du paysage dans tes mots.
Merci Nadiège, j’aime cette cité corsaire, et dès que nous pourrons vaquer plus librement au sortir de cette crise, n’hésite pas à me faire signe que nous puissions partager un moment. 🙂
Bonjour Mijo
C’est avec grand plaisir que je lis tous tes écrits, poèmes, nouvelles qui m’apportent beaucoup de joie et me donnent goût à la lecture Entre pierre et mer, une vraie réalité sur Saint Malo cette ville aux multiples facettes et donne envie de visiter ce lieu
Étant dans le milieu sportif automobile sur les chapeaux de roues me fait revivre pleinement l’épreuve
Continue Mijo surtout ne me prive pas du plaisir que tu peux m’apporter par tes écrits
Bonjour Michel, merci de ta visite sur mon blog et de tes mots qui me touchent. Je suis ravie que tu aies apprécié ce que j’écris.